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Velouma ! En selle pour "l'île rouge" et son panel de paysages grandioses : forêts de pins ou de baobabs, rizières (parfois fluorescentes !), cactus en tous genres, déserts de sable, plantations de thé, immenses falaises de granit atteignant jusqu'à 800 mètres de hauteur...Nous roulons sur de superbes pistes en latérite rouge en allant du centre vers le sud de l'île, au gré des rencontres extrêmement chaleureuses qui laissent des souvenirs inoubliables de ce voyage...
Vol depuis la France jusqu'à l'aéroport d'Antananarivo (Tana). Selon horaire d'arrivée, dîner libre à l’hôtel ou à proximité. Nuit dans un agréable hôtel campagnard en périphérie de Tana, à environ 15 mn de l’aéroport ou, si vol de nuit, dîner et nuit dans l’avion.
Nous débutons la journée par un petit transfert routier d’environ 2 heures sur la fameuse nationale 7 (une des seules routes asphaltées du pays) afin de gagner la partie la plus intéressante des hauts plateaux, tout en évitant le goudron. Après avoir cassé la croute et remonté nos fidèles destriers, c’est à 1500 mètres d’altitude que commence notre chevauchée vers le sud, escortés par de nombreux locaux, eux aussi en vélo. Ils relient les villages de ce qui était anciennement la route du lait. Mais à la différence de nos compagnons d’un jour, nos vélos ne sont pas chargés de sacs de riz et autres denrées ramenées à la maison familiale. Après le passage d’un petit col, cette étape roulante nous plonge dans la vie des hauts plateaux et nous permet déjà de visiter des villages très typiques ainsi que d’aller à la rencontre de ce peuple hyper attachant. Dîner et nuit chez l’habitant.
Distance parcourue : environ 40 kilomètres / Dénivelée positive : 300m.
Une fois nos hôtes salués et dignement remerciés, nous commençons à prendre de l’altitude sur une piste assez exigeante. Celle-ci comporte sur les 5 premiers kilomètres des petits cailloux incrustés dans le sol de manière à permettre le passage des charrettes à zébu même en saison des pluies, quand la terre humidifiée rend les côtes glissantes. Mais rapidement, la texture du sol s’améliore et le profil du jour « en montagnes russes » nous invite à nous laisser griser et à prendre de la vitesse en toute sécurité. À mesure que nous traversons des villages traditionnels, nous nous arrêtons ici ou là pour nous ravitailler sur des marchés, assister à un combat de coq, visiter des églises tantôt luthériennes, tantôt évangélistes ou tout simplement laisser passer un troupeau de zébu … qui s’est octroyé la priorité par la taille de ses cornes ! C’est dans ce décor rural entre pins, rizières et champs que nous franchissons un premier col à 1932m d’altitude avant d’attaquer une longue descente de plus de 10 km et de nous retrouver immédiatement quelques 500 mètres plus bas. Nous débouchons alors dans une grande plaine agricole très esthétique « inondée » de rizières et marquée par des cultures en terrasse aux formes particulièrement douces et harmonieuses. Dîner et nuit dans un petit « hôtel de campagne ».
Distance parcourue : environ 56 kilomètres / Dénivelée positive : 700m
Notre ville étape a beau compter davantage de commerces que les villages traversés jusque-là, ne nous y trompons pas, les malgaches vivent ici quasi exclusivement de la terre. Cela signifie que nous évoluons dans un décor passant des champs de maïs au début de la saison humide (novembre/décembre) aux cultures de pommes de terres / haricots à la saison sèche sans oublier bien sûr les rizières, omniprésentes le reste du temps. Au menu du jour, une progression plutôt roulante, peu technique et qui fait la part belle aux rencontres chaleureuses dans une ambiance ultra-colorée, du matin au soir. Au gré de l’étape, nous pourrons peut-être tomber sur le spectaculaire marché aux bestiaux de Mahazoarivo ou nous initier au Fanuruna (jeu malgache) sur le bord de la piste. Après nous être extirpés de ces grandes plaines agricoles, nous reprenons de la hauteur dans un paysage collinéen au relief plus marqué et à nouveau très arboré. Vous avez bien fait de garder des forces pour la fin de l’étape car les côtes se raidissent à mesure que nous nous rapprochons du terme de l’étape. C’est après avoir franchi de nombreux pontons en bois et « enjambé » de belles rivières que nous sommes récompensés par nos efforts en débouchant sur l’agréable bourg d’Ambositra, marquant un véritable retour à la civilisation puisque nous y retrouvons la célèbre Nationale 7. Transfert de 4 heures en minibus pour arriver en début de soirée à Fianarantsoa. Dîner dans la ville et nuit en hôtel confortable.
Distance parcourue : env. 55 km/ Dénivelée positive : env. 700m
Départ directement en vélo de notre hôtel de Fiana en mettant le cap sur le massif de l’Andringitra, via d’abord les très vallonnées collines du sud-est. En effet, les 3 kilomètres de bonne route (N7) nécessaires pour sortir du centre ville sont un échauffement précieux avant d’attaquer une route pavée à forte déclivité, nous obligeant à passer le petit plateau. En contrepartie, cette dernière nous permet de rapidement nous retrouver sur les crêtes et d’apprécier « d’en haut » la richesse topographique et l’incroyable diversité de paysages et cultures des environs de Fiana. La piste qui suit, rendue un peu technique par l’incrustation de pierres facilitant le passage des véhicules en saison des pluies nous permet de traverser quelques villages et zones agricoles vraiment très reculées ainsi que passer devant une rigolote petite école de campagne. Les enfants, lorsqu’ils découvrent nos têtes de «Vazaha » curieux, ressentent un mélange d’excitation et de rire, alors que le maître d’école est lui aussi plutôt décontenancé ! Plus loin, un petit portage d’une quinzaine de minutes, d’abord en escalier puis en bordure de champ, nous permettra d’accéder à un chouette single track très roulant et assez long en forêt d’eucalyptus. Au cours de cette étape de « transition géographique », la verdure disparaît petit à petit, la fraîcheur et l’humidité qui l’accompagnent se changeant en un climat beaucoup plus chaud et sec alors que les roches apparaissent davantage érodées et que les montagnes « se déplument ». Humm ! Ca sent déjà le sud ! Diner et nuit dans un petit village, chez l’habitant ou bien en campement.
Distance : 52 kilomètres / dénivelée positive : 1060m
La première étape « typée montagne » est au programme du jour et assurément l’une des deux ou trois plus belles du voyage ! Alors que nous roulons toujours plein sud dans la splendide campagne malgache, les couleurs changent en cours d’étape : presque une impression de changer de saison ! Le paysage évolue avec grâce et dans ce décor de carte postale, une chose ne change pas : l’accueil. Ceci nous invite à la réflexion au sujet de notre voyage et surtout des habitants rencontrés depuis Tana : il devient hélas évident que plus nous nous éloignons des hauts plateaux, plus nous nous heurtons à des habitants touchés par la pauvreté et la difficulté à trouver ou conserver de l’eau. À mesure que nous progressons vers le sud, les étals des marchés sont à chaque village un peu moins fournis, l’alimentation moins variée, le manioc de plus en plus omniprésent. Estimons-nous heureux, les « malgaches des champs » sont travailleurs, heureux de vivre et n’ont pas de gros besoins. Nous sommes loin des villes, de la tentation et de la misère, des bidonvilles. Pourtant, l’accueil lui est invariable: incroyablement généreux, chaleureux, génial ! C’est donc le cœur rempli de bonheur que nous grimpons, d’abord entre les terrasses puis rapidement à flanc de montagne, vers un joli col. La longue descente qui suit, un poil technique sur le haut, nous donne accès à un superbe terrain de jeu. Une fois en bas, de nombreuses rivières nous imposent à chaque fois de franchir des ponts en bois plus cassés les uns que les autres … Séquence frisson ! Nous arrivons tôt et pouvons visiter la ville dans l’après-midi. Dîner et nuit en hôtel confortable dans la ville d’Ambalavao, en face de son grand marché.
Distance : env. 40 km / Dénivelée positive : env. 600 m.
Nous quittons cette sympathique ville de 30 000 habitants, célèbre pour son marché aux zébus, pour mettre le cap au Sud-Ouest et contourner le massif granitique de l’Andringitra que nous viendrons prendre à revers. Une fois n’est pas coutume, le départ est en descente, et sur une large piste qui nous permet de tous rouler de front quelque temps (!) Amusant et pas si courant ... Rapidement, le décor s’ouvre de manière spectaculaire et nos yeux sont attirés vers ces montagnes aux étonnantes formes géométriques qui se profilent au loin. Elles sont assez inhabituelles tant par leur forme, leur hauteur que par leur texture ou leur couleur. Nous évoluons sur un terrain légèrement sableux, mais roulant, « à la montagne » mais dans le désert (!). Après une douzaine de kilomètres, nous remontons le short pour traverser une petite rivière qui nous donne accès à un superbe single-track, zigzagant entre les cultures de manioc et de tabac. D’un village à l’autre, il nous offre au passage la possibilité de nous amuser sur de jolis rochers lisses (le slick rock malgache) à l’adhérence ... renversante ! Plus loin, nous coupons la fameuse nationale 7 que nous empruntons sur une vingtaine de kilomètres (c’est loin d’être sa partie la plus moche, ni la plus plate d’ailleurs). Une fois à nouveau sur les chemins, nous sommes à l’entrée de la vallée du Tsaranoro, et allons y pénétrer par une piste très roulante. Une dernière montée nous permet d’accéder à nos bungalows, au pied de magnifiques faces de Granit … Grandiose !
Dîner et nuit en bungalows.
Distance: 55 Km / Dénivelée positive: 900 m.
Une fois n’est pas coutume, nous repartons ce matin par la piste que nous avons empruntée la veille pour rejoindre la nationale 7. Les montées et descentes s’inversent, mais le plaisir de rouler dans cet environnement reste le même. Nos regards s’orientent maintenant vers le nord et nous contemplons à présent un paysage aux formes douces et arrondies. En chemin, Quelle surprise de découvrir un petit manège d’enfant artisanal en plein milieu de la place du village de Vohitsaoka. L’occasion est trop belle, nous prenons donc le temps d’échanger avec les villageois et nous enfonçons plus avant au cœur des ruelles de terre. Qu’ils soient fait de terre sèche, de briques ou de bois, les parcs à Zébu sont légion et laissent peu de doute à propos de l’activité principale du village !
Puis, nous chargeons les vélos et entamons le trajet de retour vers les hauts plateaux (environ 4 heures) et Fianar, que nous prenons cette fois le temps de visiter, pour y dîner (diner libre, non inclus) et y passer la nuit.
Distance : 25 Km / Dénivelée positive : 200 m.
Au réveil, nous grimpons dans le fameux train avec nos vélos, soigneusement disposés par notre guide dans un wagon spécifique. Dans une ambiance indescriptible digne du siècle passé, nous progressons à vitesse réduite, comme pour mieux apprécier le paysage et le passage des hauts plateaux à la jungle. Les scènes de vie à chaque gare sont cocasses, les échanges riches et nombreux avec les passagers locaux ou les commerçants. A chaque fois, le même rituel : arrêt, ravitaillement, déchargement de wagon, prise de nouveaux wagons … pourvu qu’ils ne se trompent pas de wagon (nos vélos …) ! Une expérience géniale à vivre au moins une fois dans sa vie … Nous quittons le train à Tolongoina après avoir roulé la matinée sur la partie la plus spectaculaire, au milieu de la falaise et de belles cascades.
Depuis Tolongoina, nous empruntons une piste difficile qui rend l’accès aux village peu aisée pour les bus scolaires et autres transports de marchandise. L’omniprésence de l’eau et l’étroitesse (ou la rareté, voir l’absence) de ponts nous impose de partir avec notre duvet, notre brosse à dent et de quoi se laver (sans oublier la lotion anti moustiques ;-) car nous ne pourrons pas retrouver nos affaires ce soir. En effet, notre assistance doit effectuer un grand détour pour nous retrouver à la sortie de la forêt tropicale le lendemain. Pas d’autre solution ! Nous arrivons à notre hébergement « tout en bois » en toute fin de journée et Coco nous attend pour un repas bien mérité ! A partir d’ici, nous dormons sous moustiquaires.
Distance en vélo : env. 50 kilomètres. D+ : 400m.
Nous sommes désormais bien avancés en terre Tanala. Traduction : « Ceux qui vivent dans la forêt ». Ce groupe ethnique tire en effet de la forêt la quasi-totalité de ses ressources. La chasse, la collecte de plantes et de miel sauvage, mais aussi l’abattage du bois, la traditionnelle culture du riz sur “tavy” (terrains déboisés par le feu) et la culture du café sont leurs principales occupations. Notre voyage dans le temps en VTT se poursuit donc avec la découverte de nouveaux chemins en forêt luxuriante, de nouveaux habitats, d’une nouvelle ethnie avec ses modes de vie et bien sûr, de nouveaux paysages ! Nous apprenons petit à petit à reconnaître ce qui fait la richesse de ce biotope : orchidées colorées, mousses spectaculaires, immenses fougères arborescentes, lianes inextricables, troncs aux diamètres bodybuildés ... La densité de végétaux dans ce décor inhabituel mais surtout les bruits (pas toujours indentifiables) qu’on peut y entendre rendent l’expérience de la jungle vraiment mystérieuse et envoûtante. Toutefois, à mesure que nous continuons à perdre de l’altitude, la forêt se fait moins dense et le paysage moins impénétrable. Nous roulons sur une piste très agréable en bord de rivière une bonne partie de la journée et profitons de ce profil assez reposant pour soulager nos cuisses après 10 jours de vélo. Arrivés dans le village d’Ifaniréa, nous récupérons un petit sac d’affaires que nous avions laissé à notre 4x4 de logistique la veille au matin. Après nous être installé dans notre auberge rustique en bois, nous pouvons flâner dans les ruelles de ce joli village traditionnel. Soyons attentifs, nous pourrons y découvrir un petit cinéma de cambrousse très couru par les villageois … Ambiance assurée !
Distance: environ 45 km / Dénivelée positive: 400 m.
Aujourd’hui, nous « sortons des bois » avec l’objectif d’aller toucher l’eau ... douce. Nous passons progressivement du bambou au bananier et du crocodile au petit poisson de rivière. La première partie de l’itinéraire est marquée par le franchissement d’un joli petit col routier (sans aucun trafic, rassurez vous) où l’arbre du voyageur s’expose à nos yeux sous son meilleur profil ... c’est à dire de face à peu près sur chaque colline environnante ! Après cet échauffement d’une quinzaine de kilomètres, nous accédons à un village bordant une large rivière que nous devons traverser, en bac ou en pirogue. De l’autre côté, les chemins réapparaissent et nous continuons notre progression d’abord dans une petite forêt puis sur un très joli sentier en bord de rivière. Notons que le véhicule 4/4 d’assistance ne peut pas nous suivre sur ce terrain étroit. En revanche, nous le retrouverons une vingtaine de kilomètres plus loin. A partir de maintenant, nous ne cesserons de perdre de l’altitude jusqu’à notre arrivée à la mer le lendemain ! Dans l’après midi, nous traverserons de nombreux petits villages en bordure de la rivière dont le lit s’élargit de plus en plus. Un dernier passage en pirogue, et nous voici dans le petit bourg de Vohipeno. Nuit et diner dans un petit hôtel modeste.
Distance : env. 60 Km. D+ : 750m
Au petit matin, nous vérifions que le maillot de bain est bien présent dans le sac à dos puis nous partons sur 4 km de route avant de récupérer une petite piste très agréable bien que partiellement ensablée. Les villages sont plus rares et plus petits, composés seulement de petites cabanes de bois sur pilotis. Un grondement sourd se fait entendre petit à petit et alors que nous commençons à sentir les embruns, soudainement, l’océan s’offre à nous ! Nous arrivons en vélo directement sur une belle plage « secrète » de la cote océanique où nous pourrons nous baigner. Si la chance est avec nous, peut être pourrons nous apercevoir le ballet des pirogues revenant de la pêche en bravant les rouleaux écumants ! Après un moment de farniente bien mérité, nous retournons à Vohipeno par le même chemin pour manger au restaurant de l’hôtel avant de reprendre la route pour un transfert de 5 heures vers Ranomafane.
Dîner et nuit en bord dans des bungalows confortables ou en petit motel, proche des lémuriens.
Distance : 35 kilomètres / Dénivelée positive : 300 mètres.
Cette journée se déroulera en trois temps :
- Tout d’abord, la visite du parc de Ranomafane : il s’agit d’une forêt humide primaire au sein de laquelle cohabitent plusieurs espèces de lémuriens, mais aussi des caméléons, scorpions, phasmes et autres espèces animales adaptées à ce milieu si particulier. Notre guide aidé de plusieurs rabateurs nous initie à la compréhension de cet ecosystème propre à Madagascar.
- Puis, nous remonterons sur nos montures pour une petite sortie VTT sur piste facile, histoire de nous délier les jambes une dernière fois entre deux transferts
- Enfin, nous repartons pour un transfert d’environ 5 heures jusqu’à Ambositra. En chemin, nous nous arrêtons dans les environs d’Antsirabé pour manger dans un petit restaurant local.
Dîner et nuit dans un hôtel confortable à Ambositra
Départ en milieu de matinée vers la capitale où nous arrivons en fin d'après midi. Nous rejoignons notre hôtel de campagne en banlieue de Tana.
Possibilité de rester à l'hôtel ou de prendre un taxi pour une courte visite pédestre du centre historique et colonial. Tana ne présente pas un intérêt majeur, mais peut valoir le détour pour les plus curieux d'entre nous !
En soirée, nous emballons nos vélos, et buvons un dernier verre avec notre équipe. Dîner libre et nuit dans l'hôtel proche de l'aéroport (en banlieue de Tana).
Petit déjeuner inclus (à l’hôtel) puis route vers l’aéroport.
Selon horaires de vol : vol retour tôt le matin et arrivée en France en soirée ou vol de fin de journée et nuit dans l'avion puis arrivée en France en matinée.
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Note moyenne des voyageurs :
Bonjour ! Bien pris en compte votre commentaire sur le nombre de personnes sur ce voyage en octobre dernier. Comme précisé à l'occasion d'autres réponses, nous avons créé deux "sous groupes" sur le terrain en faisant partir de France un guide de notre équipe (Julien). Donc, si la taille des groupes a été respectée sur les parties VTT, nous n'avons pas suffisament anticipé sur le fait que les temps libres (repas notamment) seraient plus compliqués à gérer avec un groupe de cette taille (19 participants). C'est quelque chose que nous avons déjà accepté par le passé sur d'autres destinations, mais qui n'était pas la décision idéale pour ce voyage VTT à Madagascar...